Zoé en imposait, toute beauté et dénuée de profondeur,
Elle n’aspirait qu’à se remplir, et avoir un enfant, son bonheur.
Elle choisit ses amants, un par un, dans une danse macabre,
Pour concevoir ce qu’elle désirait, un nouveau né convenable.
On ne change pas une méthode qui réussit, Zoé poursuit sa quête,
Elle n’a besoin de personne, seulement de nourriture et bébé.
Mais à quarante-deux ans, les douleurs s’immiscent, pesant sur son être,
Zoé ressent une piqûre au cœur, alors qu’elle prépare son festin, sans regret.
N’y prêtant pas attention, la douce s’active avec véhémence aux fourneaux,
L’écume aux babines, pour son bambin et pour elle, préparant le gigot.
Quand enfin la crise la foudroie, elle tombe par terre, meurt en ne disant mot,
Ne sentant même pas son corps écraser sa raison de vivre, son petit marmot.
C’est vraiment bien ce que tu fais, continue.
Merci 😉 !
Je me demande d’où tu tire tes thèmes.
En tout cas, si tu bossais aux urgences, tu te régalerais d’anecdote.
Les contes macabres c’est inspiré d’histoires vraies 😉 !
Si t’as des anecdotes je prends !